Afin de soutenir son expansion, ASFQ est heureuse de compter depuis début juillet 2022, cinq nouvelles personnes dans son équipe, à savoir une chargée de projets et quatre collaboratrices à la recherche, en appui aux programmes de Solidarité urbaine et de Résilience diluvienne.

  • Sonia Blank, chargée de recherche – Solidarité urbaine
  • Veronic Lapalme, collaboratrice à la recherche – Solidarité urbaine
  • Elizabeth Prince, collaboratrice à la recherche, Solidarité urbaine
  • Sarahlou Wagner, collaboratrice à la recherche, Solidarité urbaine
  • Marylou Filiatrault, collaboratrice à la recherche – Résilience diluvienne

 

Avec l’assurance de leur succès, nous leur souhaitons la bienvenue!

Sonia Blank partage les années d’étude de son baccalauréat en architecture entre l’Université de Montréal et l’Université Technique de Munich, en Allemagne. Elle travaille deux ans dans des cabinets d’architecture à Munich, où elle participe à de nombreux concours de conception en architecture et urbanisme. À travers son parcours, elle développe un intérêt pour la recherche pluridisciplinaire et pour les grandes problématiques urbaines. Son projet de maîtrise en architecture, une thèse en recherche-création (Université McGill), critique les pratiques d’aménagement dans d’anciennes zones de conflit à Berlin. Après trois années à travailler en conservation du patrimoine chez EVOQ Architecture, Sonia décide de s’engager dans la mission portée par Architecture Sans Frontières Québec, souhaitant combiner recherche et pratique dans un projet qui s’adresse à la communauté avant tout.

« Sensible aux enjeux touchant l’économie sociale, l’environnement, l’accès au logement et la reconnaissance des personnes vulnérables en milieu urbain, je souhaite travailler vers une ville plus juste. C’est donc avec grande motivation que je me joins à l’équipe d’Architecture Sans Frontières Québec, en espérant pouvoir y contribuer au mieux avec les aptitudes que j’ai développées en pratique architecturale », a-t-elle affirmé.

Détentrice d’une maîtrise en travail social de l’UQAM et d’un baccalauréat en psychologie avec une mineure en philosophie de l’Université de Moncton, Véronic Lapalme est actuellement  étudiante au doctorat en travail social et chargée de cours à l’Université de Montréal. Comme intervenante sociale tant au niveau communautaire qu ‘institutionnel, elle a travaillé auprès des femmes en situation d’itinérance, des femmes subissant de la violence conjugale, d’aîné.e.s maltraité.e.s et des jeunes à risque. Ses intérêts de recherche se situent autour des campements urbains, l’itinérance, le droit à la ville, la santé et les services sociaux, les femmes et la ville notamment.

Après avoir complété une formation technique et un baccalauréat en architecture, Marylou Filiatrault termine ses études à la maîtrise en architecture à l’Université de Montréal. Elle y a découvert sa passion pour le design, ainsi que son grand intérêt pour le développement durable et la transition socio-écologique.  C’est d’ailleurs pourquoi son projet de thèse s’articule sur l’économie circulaire et la requalification de friches industrielles délaissées en les transformant en milieux de vie complets. Étant préoccupée par les changements climatiques et leurs impacts sur l’environnement bâti, elle se joint à l’équipe du volet résilience diluvienne qui lui donne l’occasion de mettre à profit sa formation pour une cause importante.

« Mon travail chez Architecture Sans Frontières Québec me permet d’encourager la résilience et d’identifier des stratégies d’adaptation pour cohabiter avec l’eau. Accompagnée d’une équipe formidable, je suis très enthousiasmée par la perspective de venir en aide à la population locale touchée par les aléas d’inondation. », a-t-elle affirmé.

Elizabeth Prince a effectué son baccalauréat en architecture à l’Université de Montréal et à la Universidad Nacional Autónoma de México (UNAM). En 2021, elle a débuté sa maîtrise professionnelle en architecture à l’Université de Montréal. Son projet de recherche-création et son projet-mémoire portent sur la « ville-refuge » ou l’hospitalité de l’espace urbain. Elle s’intéresse à la recherche interdisciplinaire en sciences humaines et en aménagement.

« J’espère que le projet ‘’Architecture et Itinérance’’ dans le cadre du programme de Solidarité urbaine d’ASFQ, pourra éclairer les architectes et urbanistes sur leurs responsabilités dans la cocréation d’une ville plus juste. », a-t-elle indiqué.

Sarahlou Wagner possède un baccalauréat en architecture (Université de Montréal et Università Iuav di Venezia) ainsi qu’une maîtrise professionnelle (École d’architecture de l’Université Laval) au cours de laquelle elle s’est familiarisée avec les enjeux complexes soulevés par l’intervention architecturale dans l’habitat précaire. Elle est également détentrice d’une maîtrise en philosophie au cours de laquelle elle s’est spécialisée en Théorie critique. À titre de chercheuse, elle a collaboré depuis 2018 à des projets de recherche visant à favoriser le bien-être des usagers lors de la rénovation de bâtiments institutionnels. Elle entame un doctorat en architecture avec le soutien du Fonds de recherche du Québec – société et culture (Université Laval) dans le domaine des relations personnes-environnement afin d’étudier les relations entre les politiques publiques, la société et l’architecture institutionnelle.

« C’est un honneur d’être accueillie par l’équipe d’Architecture Sans Frontières Québec pour y étudier le lien entre l’environnement bâti et l’itinérance. », s’est-elle réjouie.

 

Légende photo (de gauche à droite) : Sarahlou Wagner, collaboratrice à la recherche ; Bruno Demers, directeur général ; Marylou Filiatrault, collaboratrice à la recherche ; Veronic Lapalme, collaboratrice à la recherche; Elizabeth Prince, collaboratrice à la recherche et Sonia Blank, chargée de recherche.

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